après son entretien avec le boss de la "Russie", Vladimir Poutine. Certains journalistes pensaient que le « petit Nicolas » était ivre-mort et, qu’il s’est laissé aller pendant son entretien arrosé avec son homologue russe !
Il semblerait que cette version n’était pas la bonne ! D’après l’émission « Le Mystère Poutine » de France 2 du jeudi 22 décembre 2016, et abordé par le journal « Les Échos », l’ancienne version véhiculée à l’opinion est complètement fausse. Sans citer ses sources, le journaliste Nicolas Hénin témoigne dans ce documentaire que l’ex-Président Nicolas Sarkozy
avait tenté d’évoquer les sujets qui fâchent avec son homologue russe. » On va parler des sujets qui fâchent" (massacres en Tchétchénie, la question des droits de l’homme, les homosexuels, et les zones d’ombres qui entourent l’assassinat de Anna Politkovskaïa, une journaliste opposante qui dérange beaucoup). Selon le témoignage, le Président français a fait savoir à son homologue russe que tout ça « est inadmissible ». Alors le président russe aurait laisser parler le petit Nicolas, et après un temps d’arrêt, la réplique était « intense » et — inattendue — et  le petit Nicolas n’arrivait pas à croire ce qu’il vient d’entendre de l’Empereur Russe du temps moderne V.Poutine : » si tu continues, je t’écrase, ou alors tu arrêtes de parler comme ça ». Avec un air narquois, Vladimir Poutine continuait avec son habituelle arrogance à balancer des propos humiliants : » c’est bon, t’as finis là ? "... La “taille de la France était ridicule par rapport à celle de la Russie”. “Ou bien tu continues sur ce ton et je t’écrase, ou alors tu arrêtes de parler comme ça et tu verras, tu viens juste de devenir président de la France…” Selon ce témoignage, l’entretien entre les deux hommes était ponctué d’insultes et de propos humiliants qui auraient choqué ou traumatisé l’ancien chef d’État. Contrairement aux interprétations des observateurs lors de cette conférence et le tête-à-tête Sarkozy-Poutine, Le président français n’avait pas trop bu, mais il était K.O suite à l’humiliation infligée par Poutine » précise Nicolas Hénin. L’ancien chef d’état Nicolas Sarkozy, était il y a quelques semaines un nouveau perdant (et humilié)) lors des primaires de la droite pour choisir un candidat à la présidentielle 2017. Il aurait dû être suivi
dès son retour en France (en 2007) par un psychologue juste après le traumatisme qu’il avait subi le pauvre, ça explique tout maintenant. Tout un quinquennat, on était présidé par un président blessé, humilié et traumatisé ! Quant à Poutine, il vient d'être désigné le 21 décembre 2016 par Forbes (magazine américain) en qualité de l'homme le plus puissant du monde! Ce n'est pas étonnant ce classement - d'après la norme occidentale- , surtout après son chef-d'oeuvre en Syrie, un pays en ruines, des centaines de milliers de civils innocents morts témoignent sa puissance sanguinaire devant une certaine organisation qui s'appelle l'ONU.
— L.K (El-Fayçal)