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Fil d’actualités :

Jean-Luc Bennahmias, Benoit Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon, Sylvia Pinel, François de Rugy, et Manuel Valls.


Dans très peu de temps, les 7 candidats de gauche vont rentrer dans les débats des primaires citoyennes  afin de désigner un candidat à la présidentielle 2017.
En regardant de près les personnalités candidates à ce test cela nous donne l'impression que le renouvellement, ou  la régénération du PS a raté son rendez-vous avec l'histoire.On compte deux  anciens ministres de l'éducation nationale qui ont participé d'une manière ou d'une autre à faire reculer le classement mondial de la France en niveau de  la qualité d'enseignement, un ministre de l'économie qui rêve contre courant de la globalisation, en voulant imposer le "Made in France" devant la concurrence - violente - des grands acteurs économiques mondiaux. Pour lui, le retour au protectionnisme ou le nationalisme économique est toujours possible, ou bien ce n'est qu'un fantasme d'un politicien qui se déconnectait de la réalité mondiale?! Quant à Monsieur Valls, on ne sait pas s'il est atteint de la schizophrénie politique ou c'est l'inconscience totale de la réalité, en tant que ministre, Premier ministre durant tout le quinquennat n'était qu'un stratagème pour arriver rapidement à ses fins de président de la République en moins de temps. D'abord, il fait une pression ( interne)  avec son camp pour que Hollande ne se présente pas ( selon les Vallsistes) " la candidature de l'actuel président compromettra le projet de victoire de la gauche en 2017.
Dès le retrait  de Hollande de la course présidentielle, le Premier ministre se précipitait vers la démission pour annoncer son envie d'être en 2017 locataire du palais présidentiel.
Le candidat Valls durant ses petits meetings et entrevues avec la presse, dans le cadre de sa compagne électorale, il n'a pas hésité à remettre en question son propre bilan , et critiquer la gestion politique de son parti, ainsi l'échec d'un quinquennat dont il était un auteur principal. Sa schizophrénie politique lui a   fait oublier qu'il était lui même depuis 2012 un grand acteur de cet échec politique, social, et économique!
Valls dans ses slogans destinés à endormir l'électorat de gauche veut  comme par magie :" une république forte , une France juste"!!!.
Il n'a pas tort sur  ce point, puisque la république n'a jamais était faible et injuste comme dans ce quinquennat cauchemardeux !
Le problème, comment peut-on être à la fois; celui qui a dirigé une politique des échecs multiples, avec un exercice immature durant cinq ans, qui a rendu la France faible et injuste et, celui qui a - soudainement - la clairvoyance pour proposer des solutions miracles, excepté (le 49.3 ) pour la rendre "forte et juste"!?

- El-Fayçal-Rédaction

Dernière modification le mercredi, 11 janvier 2017

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